The bilingual, open-source, and peer-reviewed Canadian Journal of Law and Society / La Revue Canadienne Droit et Société has published a special issue entitled Person-Centred Justice: Reimagining Law, Institutions, and Process / Justice centrée sur la personne : réimaginer le droit, les institutions et les processus, which includes an article by NSRLP Executive Director Jennifer Leitch and Project Manager Dayna Cornwall reflecting on the NSRLP’s School for Family Litigants (click the title below to read the full article):

A School for Self-Represented Litigants: A People-Centred Approach to Access to Justice in Family Law

Abstract

In recent years, there has been a dramatic increase in self-represented family law litigants. This increase permeates courts in a variety of jurisdictions. It is also clear that self-represented litigants (SRLs) disproportionately suffer more negative outcomes than represented parties. Therefore, the question now is what the responses are and should be to this phenomenon. Like many other facets of access to justice, the solutions in the family law context must be both diverse and tailored to the actual needs of those representing themselves in family law courts. This requires understanding the experiences and challenges faced by family law SRLs and ensuring that SRLs participate in the design of any responses developed. Such an endeavour is consistent with a people-centred approach to access to justice in which those directly impacted by the justice system are centred in the identification and development of viable solutions. One such project was the School for Family Litigants, an access to justice initiative designed by the National Self-Represented Litigants Project to help SRLs participating in family law litigation.

Résumé

Ces dernières années, on a assisté à une augmentation spectaculaire du nombre de justiciables non représentés (JNR) dans des litiges en droit de la famille. Cette augmentation touche par ailleurs de nombreuses juridictions. Il est également établi que les JNRs subissent de manière disproportionnée un plus grand nombre de conséquences négatives que les justiciables représentés par avocat. Par conséquent, la question est maintenant de savoir quelles sont – et quelles devraient être – les réponses à ce déséquilibre. Comme bien d’autres enjeux relatifs à l’accès à la justice, les solutions à ce problème devront être plurielles et adaptées à la fois aux besoins spécifiques des JNRs et au contexte des litiges en droit de la famille. Pour ce faire, il importe de bien comprendre l’expérience des JNRs en droit de la famille et de s’assurer que ces personnes puissent participer à l’élaboration des réponses au problème du déséquilibre entre les justiciables représentés par avocat et ceux qui ne le sont pas. Cette approche s’enracine dans une conception de la justice centrée sur les personnes qui place au centre de ses processus les personnes directement concernées par la formulation et la mise en œuvre de solutions. Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’une approche de l’accès à la justice centrée sur les personnes, dans laquelle les personnes directement concernées par le système judiciaire sont au centre de l’identification et de l’élaboration de solutions viables. Le Family Law School est l’un de ces projets, qui est une initiative d’accès à la justice conçue par le projet national pour les justiciables non représentés qui vise à aider les JNR qui participent à des litiges en matière de droit de la famille.

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